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   Trier par date décroissante
Lwakale Mubengay BAFWA
Suisse
Posté le:
21/2/2002 22:08
Sujet du message:
Compte rendu de l'Assemblée du févr. 02
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Email:
bafwa@genevalink.ch
Site Internet:
http://www.congo.ch

COMPTE RENDU DE L’ASSEMBLEE GENERALE ANNUELLE de la Fédération des Congolais de l’Etranger [F.C.E.]
Samedi 9 février 02

L’Assemblée générale annuelle de la FCE (Fédération des Congolais de l’Etranger) a commencé ses travaux à Paris, le samedi 09/02/2002, à 11h15 précises. Axée sur les préparatifs du Congrès de la FCE, elle a été introduite par Pr. Mwayila Tshiyembe, en sa qualité d’initiateur du projet de fondation de la FCE.

Six points figuraient à l’ordre du jour : -

1. la désignation de la ville d’accueil du Congrès
2. la définition de l’objet du Congrès et l’adoption des frais de participation au Congrès
3. l’adoption des modèles des bulletins d’adhésion et de cotisation
4. la fixation du montant de la cotisation annuelle
5. l’adoption définitive des statuts harmonisés de la FCE
6. la désignation du lieu du siège de la FCE

Nombre des participants à l’Assemblée générale annuelle : -

23 membres dont les noms ci-après ont participé à l’Assemblée générale annuelle du 9/02/2002 : Georges Alula, Pierre Biduaya Beya, Faustin Beya, Kabuya Lusamba, Jean Mande, Nicolas Mwala Lusamba, Lwakale Mubengay Bafwa, Paul Kanema, Nsenda Kanyinda, Jeff Lusamba, Mathieu Lumbala Biduaya, Mme Mujinga Tshibuyi, Mwayila Tshiyembe, Isaac Ndaye, Bonaventure Ntumba, Ngalamulume Tshabukole, Nzemba Kabasele, Valentin Tshibangu Wansamba, Clément Ntambwe Luadia Luadia, Oméonga Onakudu, Florent Mukendi, Mpasi Mavuanga, Mme Polome .

Discours introductif

Voici un an jour pour jour, que nous avons pris la décision, le 24 février 2001, de créer la Fédération des Congolais de l’Etranger. Cette Assemblée générale annuelle nous offre l’occasion de faire le bilan de ce qui a été fait et de ce qui reste à faire, a dit Mwayila Tshiyembe, avant de préciser que son propos introductif s’articule autour de trois points.

Primo, il a félicité les membres de la FCE d’avoir bien voulu répondre à son invitation en dépit de la controverse qui l’a précédée.

Secundo, affligé par cet incident regrettable qu’il demande à l’Assemblée générale annuelle de régler, au meilleur de l’intérêt général de la FCE ; il s’est réjoui que la majorité des membres de la FCE ait eu la lucidité de distinguer l’essentiel de l’accessoire, comme elle l’a prouvé depuis le 24 février 2001, en améliorant le projet initial soit par son capital intellectuel (débats d’idées); soit par son capital temps (en assistant aux réunions) ; soit par son capital financier (en participant aux frais de location de la salle des réunions, sans oublier les membres habitant loin de Paris ou venant de l’étranger, qui ont payé de leur poche les frais de voyage et de séjour à Paris).

Tertio, il a souligné qu’à l’issue de cet échange, il cédera sa place au modérateur ou président de séance que désignera l’Assemblée Générale, pour diriger les débats sur les points inscrits à l’ordre du jour.

En outre, il a rappelé les trois étapes de fondation de la FCE :

- L’Assemblée du 24 février 2001, qui a adopté le principe de création de la FCE et mis sur pied un comité d’initiatives de 12 membres;

- La création des sections nationales de la FCE, dont celle de France, élue lors de l’Assemblée du 01/12 /2001. Il reste aux autres pays cibles d’en prendre le chemin, selon les procédures et les méthodes démocratiques en vigueur à la FCE.

- Les préparatifs du Congrès de la FCE prévue du 30 au 31 mars.

Si la première phase a été franchie sans encombre, le plus dur reste à faire, a-t-il enchaîné. La création de la FCE suscite un engouement dans les milieux congolais de par le monde. Cependant, il ne faut pas céder à la pression de cette vague déferlante qui frappe au portillon, sans avoir au préalable, consolidé les fondations de la FCE, avec plus de discernement et de ténacité. Sinon, nous risquerions d’essuyer un échec. Et la meilleure arme pour éviter l’échec, a-t-il ajouté, c’est le respect scrupuleux des principes et de la démocratie interne.

Sur ce point, il a reconnu que le Comité d’initiative dont il fait partie a collectivement failli à ses obligations. Non seulement les 12 membres de ce comité ont péché par négligence (d’autres ont disparu sans laisser l’adresse) et laissé filer à un an la durée d’un mandat de deux mois qui leur a été imparti ; mais qui plus est, aucune commission dont ils ont eu la charge (élaboration d’un projet des statuts ; prospective sur la collecte des fonds ; collecte des données sur les associations partenaires cibles ; stratégie de sensibilisation et de mobilisation) n’a accompli son devoir. Seule la commission du suivi du symposium de Blankenberge a tenu ses engagements en publiant les Actes de ce colloque. Elle mérite toutes nos félicitations.

Par ailleurs, a-t-il indiqué, un texte nommé « Note d’orientation » a été distribué et recommandé comme document de référence à tous ceux qui, de par le monde, cherchent à saisir le fil conducteur du projet de la FCE ; alors qu’en vérité, ce texte n’a fait l’objet d’aucun débat interne et n’a été adopté par aucune assemblée pour engager la FCE.

Dans le même ordre d’idées, il a été prêté à la réunion du 9 juin 2001, l’intention d’avoir pris la décision de transférer le siège provisoire de la FCE à Genève, au motif que cette ville est le lieu de résidence du coordinateur. Or, non seulement cette question ne relève pas de la compétence du Comité d’initiatives d’une part ; et ne figurait même pas à l’ordre du jour de sa réunion du 9 juin d’autre part. En outre, aucune preuve d’un débat ou d’un vote sur ce sujet n’a été fournie par le compte rendu et aucun participant à cette réunion n’a le souvenir d’avoir pris ou participé à la prise d’une telle décision.

Il en va ainsi de la « proposition d’une initiative de la FCE au sujet de la situation actuelle en RDC », prospectant les voies et moyens de participer au dialogue inter-congolais, par le biais d’un Manifeste. Bien qu’il ne s’agisse que d’une proposition, cette initiative viole d’une manière caractérisée, le consensus sur lequel s’est appuyée l’Assemblée du 24 février 2001 pour adopter le principe de création de la FCE, en précisant que l’agenda de cette association ne doit en aucune manière être soumis aux échéances politiques congolaises (le fiasco de la « Diaspora » se réclamant du symposium de Blankenberge faisant foi).

Pour conclure, a-t-il dit, « l’erreur est humaine. Nous sommes collectivement responsables de ce laisser-aller et devons avoir la modestie d’accepter, les uns et les autres, que nous sommes chaque jour à l’école de l’apprentissage de la démocratie et qu’il n’est jamais trop tard pour rectifier le tir. Et ce, d’autant plus qu’à la lumière des faits, il est apparu que nous n’avons pas tous la même grille de lecture des objectifs et des échéances futures de la FCE.

C’est pourquoi, convaincu que l’union ne fait la force que si tous les acteurs de la fondation de la FCE regardent dans la même direction, il a invité l’Assemblée générale annuelle de prendre ses responsabilités pour décanter la situation et préparer efficacement le Congrès. Sinon, a-t-il indiqué, « je préfère quitter la FCE ».

· Réactions des participants au discours d’introduction

Plusieurs réactions ont été enregistrées de la part des participants à l’Assemblée générale annuelle.-

- M.Ngalamulume Tshiabukole, s’est dit « apaisé par le ton détendu de ce discours introductif » qui, selon lui, « va dans le sens de l’union ». Cette A.G. a été précédée d’une crise, qu’il ne faut pas dissimuler. Nous aurions pu en faire l’économie, car nous partageons les mêmes valeurs. Maintenant, nous devons avoir le courage d’organiser différemment l’équipe de la coordination qui n’a pas bien fonctionné.

- M. Bonaventure Ntumba, a insisté sur le fait qu’en dépit de la crise, les gens doivent se rencontrer et se parler même s’ils ne sont pas d’accord. Sinon, beaucoup de sympathisants n’auront pas envie de rester et l’association sera condamnée à disparaître.

- S’adressant à M.Mwayila Tshiyembe, M.Isaac Ndaye lui a demandé de ne pas mettre à exécution sa menace de démission en disant : « quand on s’engage à créer une structure, on doit se préparer psychologiquement à tout accepter : les aléas, les calomnies, les injures ». Nous devons rester unis pour aider notre pays et l’entente au sommet de la coordination est indispensable. Toute décision qui engage la FCE doit être prise par l’A.G. annuelle. L’absence des statuts dûment adoptés est l’une des causes de la confusion ambiante, car on ne sait pas qui a le droit de faire quoi, quand et comment.

- M. Léonard Lusamba a soutenu que l’A.G. se justifie amplement pour savoir avec quel esprit les gens viennent aux réunions. Le comité d’initiatives est vide et ne doit pas être renouvelé. Une distinction claire doit être établie entre les débats à l’A.G. et les débats sur le Net auxquels participe n’importe qui et qui portent atteinte à l’image de la FCE. Il faudrait interdire toute publication des débats et des comptes rendus sur le Net au nom de la FCE, sans son accord. Sinon, la FCE est fondée en droit de porter plainte contre les auteurs de ces débats et communiqués. Concrètement, a-t-il ajouté, je pense aux échanges nauséabonds sur le net entre les gens de Suisse ( Bafwa, Mutombo et consorts).



- M. Pierre Biduaya a souligné que la crise à la laquelle nous assistons au sommet de la coordination, est une crise de deux conceptions opposées. L’une est bureaucratique et quantitative, peu soucieuse de l’urgence et du temps qui passe. C’est celle de M. Anotole Malu. L’autre est qualitative et soucieuse du temps pour éviter l’effritement ou la dilution de l’élan suscité par l’Assemblée de 24 février 2001. C’est celle de M. Mwayila Tshiyembe. Si l’Assemblée générale veut résoudre cette crise, elle doit en comprendre l’origine et aller au-delà des personnes en cause.

- M. Jeff Lusamba, s’est dit scandalisé par le flux des messages sur le net et le préjudice qu’il porte à la FCE et à ses membres que nous sommes. Il faut tout faire pour juguler cette crise au sommet qu’on aurait pu éviter. Dois-je rappeler que j’étais contre l’idée de créer les sections nationales avant l’adoption des statuts et la mise en forme d’une direction fédérale. Je n’ai pas été suivi. Cependant, le disfonctionnement et les germes de la division sont là. Je le déplore, mais notre ambition est de nous fédérer. Nous devons utiliser tous les moyens pour la réconciliation, sans arrière-pensées et sans calcul.

- Jean Mande, Valentin Tshibangu, Mathieu Lumbala, Mwala Lusamba, ont souhaité que tout soit fait pour éviter les divisions. Dans ce but, ils ont suggéré l’établissement d’un système de communication rapide et clair entre les responsables.

- Pour Mme Claudine Mujinga, chacun de nous est responsable de la crise que nous déplorons. Au téléphone ou sur le net, il est commode de dire une chose et son contraire à tel ou tel membre, à tel ou tel responsable de la FCE, quitte à se rétracter en public. Cette attitude est dangereuse, il faut la dénoncer. Il ne faut pas se focaliser sur les personnes, car cette crise est structurelle. Nous devons savoir qui fait quoi et qui a quel mandat. En plus, l’Assemblée générale a le droit de savoir depuis quand existent les sections nationales dont on parle et quelles conditions fixées pour adhérer à la FCE remplissent-elles.

· Examen de l’ordre du jour et décisions

Avant d’examiner l’ordre du jour, l’Assemblée générale a désigné à l’unanimité, par vote à main levée, Monsieur Jeff Kashama Lusamba comme modérateur ou président de séance.

Sitôt ce point de procédure réglée, Monsieur Georges Alula a posé une question préalable sur la nature de l’Assemblée générale annuelle, formulée en ces termes : l’Assemblée générale qui nous réunit aujourd’hui est-elle fédérale (concernant tout le monde) ou nationale (concernant uniquement la section FCE/France), parce que les sections qui sont en train de se créer en Suisse, en Belgique ne sont pas représentées ?

Après avoir laissé s’exprimer plusieurs intervenants, le président de séance a estimé que de la réponse à cette question dépendait la validité des décisions prises par l’Assemblée générale et de leur opposabilité à tous les membres de la FCE. Dans cet esprit, a-t-il précisé, la manière la plus démocratique d’y répondre est d’exiger le vote de l’Assemblée générale.

- Décision n°1 : la nature juridique de l’Assemblée générale

A l’unanimité, par vote à main levée, le principe d’organiser un vote sur cette question a été accepté. Ensuite, le président de séance a posé la question suivante à l’Assemblée générale : « Qui reconnaît que cette Assemblée générale a un caractère fédéral ? Qui ne reconnaît pas que cette assemblée générale a un caractère fédéral ? ». Exprimé à bulletin secret, le vote a donné le résultat suivant :
Nombre de votants : 18
Oui : 10
Non : 4
Abstention : 4

Après la lecture des votes dépouillés, le président de séance a déclaré : « l’Assemblée générale annuelle est fédérale et ses décisions sont opposables à tous ».

Quant à ce qui concerne les sections nationales qui seraient en voie de constitution, l’Assemblée générale, après avoir entendu les explications fournies par le secrétariat de la FCE chargé de la centralisation des informations à cet effet, a estimé d’une part n’avoir aucune preuve formelle de l’existence de ces sections nationales, le groupe suisse ayant signalé la création d’un simple groupe de travail ; d’autre part, si ces informations se confirmaient d’ici la date de la tenue du Congrès, les nouvelles sections nationales légalement constituées, seraient associées à toutes les futures réunions préparatoires du Congrès.

- Décision n°2 : inversion des points de l’ordre du jour

L’Assemblée générale a été interpellée par M. Bafwa Mubengay Lwakale, demandant s’il n’était pas possible de traiter les questions à l’ordre du jour selon leur importance et non selon l’ordre chronologique prévu, afin de tenir compte des impératifs de temps. Soumise au vote, cette requête a donné le vote suivant : -
Oui : 12
Contre : 0
Abstention : 6
Résultat : la requête a été adoptée.

- Décision n°3 : création d’une commission de médiation et de conciliation

Sur proposition de trois intervenants, le président de séance a demandé à l’Assemblée générale annuelle de constituer une Commission de médiation et de conciliation pour résorber la crise. Le principe de constitution de cette commission a été adopté par un vote à main levée, dont les données se présentent de la manière suivante : -
Oui : 10
Contre : 4
Abstention : 4
Résultat : le principe de constitution du Commission de médiation et de conciliation a été adopté.

- Décision n°4 : désignation des membres de la commission de médiation

En outre, trois candidats dont deux présents (Ngalamulume Tshiabukole, Jeff Lusamba) et un absent ( Bapuwa Mwamba) ont été proposés au vote de l’Assemblée générale pour être médiateurs. A l’unanimité, par vote à main levée, l’Assemblée générale a désigné ces trois personnes comme membres de la Commission de médiation et de conciliation.

- Décision n°5 : la création des commissions préparatoires du congrès

Ensuite, l’Assemblée générale a adopté à l’unanimité, par vote à main levée, la proposition de Lwakale Mubengay Bafwa, de créer des commissions chargées uniquement de préparer le Congrès. En voici quelques unes :
- commission de communication
- commission de mobilisation et promotion
- commission d’accueil
- commission juridique
- commission financière et budgétaire

- Décision n°6 : création du Bureau de préparation du congrès

En dépit des réserves émises par Jeff Lusamba et Georges Alula qui souhaitaient que la question de la mise en œuvre d’un Bureau de préparation du Congrès soit examinée lors d’une prochaine réunion, l’Assemblée générale a considéré qu’il était de son devoir d’examiner sans délai, les voies et moyens de résoudre la crise générée par la faillite du Comité d’initiatives. Ainsi, a-t-elle adopté par un vote à main levée, la proposition de suppression du Comité d’initiatives et son remplacement par le Bureau de Préparation du Congrès (BPC), dont le rôle de coordination incombe désormais au Secrétariat. Les résultats de ce vote se présentent de la manière suivante :
Oui : 14
Contre : 1
Abstention : 2
Résultat : la création du Bureau de Préparation du Congrès a été adoptée

- Décision N°7 : désignation des membres du bureau de préparation du congrès

Après avoir adopté le principe de création du Bureau de Préparation du Congrès, l’Assemblée générale a désigné à l’unanimité, par un vote à main levée, 12 personnes dont les noms ci-dessous, chargées de faire fonctionner le BPC jusqu’au Congrès. Il s’agit de : -
- Pierre Biduaya
- Lwakale Mubengay Bafwa
- Isaac Ndaye
- Jean Mande
- Luadia Luadia Ntambwe
- Valentin Tshibangu
- Onakudu Oméonga
- Claude Mujinga
- Paul Kanema
- M.Mavuanga
- Ngalamulume Tshibukole


- Décision N°8 : ajournement des dates prévues pour la tenue du congrès

Concernant les dates du 30 et 31 mars 2002 initialement prévues pour la tenue du Congrès, l’Assemblée générale a estimé que les engagements pris par le Comité d’initiatives n’étant pas tenus, il est impossible de tenir le Congrès aux dates susmentionnées. Par conséquent, elle a chargé le Bureau de Préparation du Congrès de rédiger un rapport circonstancié sur les activités de chaque commission et de lui faire de nouvelles propositions sur la date définitive de la tenue du Congrès de la FCE. Ce rapport doit lui être remis au plus tard le 30 mars 2002, date à laquelle l’Assemblée générale se réunira à Paris (au Sénat), selon les engagements pris par Georges Alula, le vice-président de la FCE/France dont l’A.G, en attendant, souhaite la confirmation de la démarche et de réservation officielle de la salle. Cette décision a été prise par l’Assemblée générale à l’unanimité, par un vote à main levée.

- Décision N°9 : la nécessité d’un site web pour la FCE

Au sujet du web, l’Assemblée générale a reconnu nécessaire de doter la FCE d’un site propre, supervisé par une Autorité morale. C’est dans cet esprit qu’elle a pris connaissance de la proposition faite par M. Bafwa Mubengay Lwakale, de soumettre à son examen, un dossier d’un site web. L’Assemblée générale a demandé à M. Lwakale Mubengay Bafwa de lui faire des propositions concrètes et détaillées sur le statut, l’éditorial, le financement, l’hébergement, le nom, la durée d’exploitation etc., lors de sa prochaine réunion, prévue le 30 mars 2002.

- Décision N°10 : interdiction des débats sur le web au nom de la FCE

En attendant que la FCE se dote d’un site web propre, l’Assemblée générale a décidé à l’unanimité, par un vote à main levée, d’interdire tout débat sur le net concernant les questions et les décisions internes à la FCE, sans autorisation préalable. Par ailleurs, l’Assemblée a décidé à l’unanimité, par vote à main levée, que la FCE engagera des poursuites judiciaires contre ses membres ou contre les tiers qui, non seulement se livreront à des calomnies, aux injures et à des mises en cause personnelles en se réclamant de la FCE ; mais également à quiconque communiquera les listes des membres de la FCE à des tiers sans leur consentement ou les utilisera à des fins incompatibles avec les objectifs de la FCE.

- Décision 11 : Adoption des modèles des bulletins d’adhésion et de cotisation

Sur proposition d’Isaac Ndaye, l’Assemblée générale a adopté à l’unanimité, par vote à main levée, les modèles des bulletins d’adhésion et de cotisation qui lui ont été présentés afin que la FCE détienne la preuve matérielle de ses adhérents et de leur cotisation avant la tenue du Congrès.

- Décision 12 : les sujets de l’ordre du jour non traités

L’Assemblée générale a décidé à l’unanimité, par vote à main levée, d’inscrire à l’ordre du jour de sa prochaine réunion de 30 mars 2002, les points à l’ordre du jour non traités aujourd’hui.

Avant de clore ses travaux, l’Assemblée générale a souhaité bon vent à la Commission de médiation et de réconciliation et demandé qu’un rapport lui soit remis à la prochaine réunion sur l’état d’avancement de ses activités.

La séance a été levée à 16h30.


Jeff Lusamba
Président de séance



Mwayila TSHIYEMBE,
Initiateur du projet de fondation de la FCE




 

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