Forum de discussion de la famille Lavoie

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   Trier par date croissante
Marc
Posté le:
12/12/2007 14:13
Sujet du message:
Quelques notes de plus...
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mlavoie@uwichill.edu.bb
 
Traité de Musique / De la Voye Mignot (1666)

http://www.scribd.com/doc/549347/Traite-de-Musique-De-la-Voye-Mignot-1666

Armoiries des Lavoie (de la Voye)

http://www.sebastienlavoie.com/lavoie.html


Là, je m'enfonce dans le bois de Moléans, le chemin est vaste et plat. On dirait qu'il pleut, ce sont peut-être les arbres qui s'égouttent, car il a du tomber pas mal d'eau cette nuit.
Je sors du bois pour arriver au château de "La Voye" .
http://www.e-monsite.com/sitaleo/rubrique-1052572.html









de la Villegillouart de la Voirie de la Voye de Lanne de Lanoy de Leeuw

http://www.heraldry.ws/d/index5.html

La Voye
Sur le registre du cadastre de 1831, on peut lire :
"Terroir de la Voye" parcelle E366... moulin à blé et parcelle E 368... moulin à trèfle. A la fin du siècle dernier, ces deux moulins furent remplacés par un moulin à blé à une seule roue équipée de 2 paires de meules.

http://www.pays-dunois.fr/communes/st_maur/site/economie.htm

L'année suivante, le 10 septembre 1438, il conclut également une entente avec son oncle, l'époux de sa tante Marie:
"Jean Gaignon Sr. de Saint-Bohaire d'une part, Guillaume de la Berruyère écuyer d'autre part, qui se prétend héritier de la moitié de la succession de Marquet, ci-dessus nommé. Jean lui abandonne la métairie de Villexanton tenue de Jean de Faverois à cause de la seigneurie de la Voye, plus la métairie de Heaume (paroisse de Seris) tenue de Jean de Rosne à cause de son hostel de Cousiz".

http://www.jacquesgagnon.qc.ca/seigneur.htm

Lavoye (alias Delavoye, de la Voye) d'après BLANCHARD (A.), Dictionnaire des ingénieurs militaires 1691-1791, Montpellier, 1981, 2 tomes.
"Famille du diocèse de Rouen dont on peut se demander si elle n´était pas d´ascendance R.P.R. et originaire de la région de Guilmécourt, proche de Dieppe.
1671, Denis de Lavoye
Né dans le diocèse de Rouen.
Père : Sieur Nicolas.
Mère : Demoiselle Anne Duhor (alias de Hors), très probablement apparentée avec la grand-mère de l´ingénieur Le Cloustier.
Marié premièrement à Brest le 21 mai 1672 avec Suzanne de Roupiquet (alias Roupicquet), morte le 8 septembre 1687, fille de noble Michel, sieur du Pin, et de Marie Le Roux.
Deuxièmement avec Catherine Bouillet, toujours vivante en 1720 et demeurant alors à Paris, sœur d´Henry-Albert, ingénieur.
Enfants : plus de huit parmi lesquels :
- Charles, du premier lit, ingénieur qui suit.
- Louis-Sébastien, ingénieur volontaire, mort à Bayonne le 23 juillet 1707.
- Denis, du deuxième lit, ingénieur qui suivra.
Mort à Bayonne le 8 septembre 1708.
Ingénieur ordinaire, département de Colbert, en 1671 ; affecté à Brest.
En 1683 à l´île de Ré. L´année suivante à Port-Louis.
En 1687 eut de grosses difficultés pour avoir accepté des pots-de-vin des entrepreneur : « Le roi, sur la connaissance qu´il en a eu, a ordonné qu´il fut mis dans le château de Brest.
Envoyé à Hendaye et Bayonne en 1690 comme ingénieur en premier.
Campagne de flandres en 1697 ; d´Espagne de 1702 à 1708.
Mort en activité. Grades militaires inconnus.
Sièges :
1697 : Ath.
1704 : Attaque de Maquinem, Douai (blessé).
1706 : Lérida (blessé).
1708 : Tortose (blessé à la tête), Dénia.
Surveilla la construction de la citadelle de Bayonne et celle des digues du Boucau sur les bords de l´Adour. Obtint du roi des terrains riverais de l´Adour qu´il s´efforça d´allotir".
http://www4.culture.fr/patrimoines/patrimoine_architectural_et_mobilier/sribzh/main.xsp?execute=show_document&id=MERIMEEIA29001749

Ayant participé aux combats dans les commandos étrangers ou boers :

M. d’Alverny ; Amidien ; C. Auger ; Banjard/Baujard ; F. Baules ; R. de Beaulincourt ; Beausoleil ; F. Bécard ; L. Benaben ; A. Benoît ; L. Bergasse ; D. Berger ; C. Bernicot ; G. Bertant ; F.P. Bischoff ; A. Boissand ; de Boisserolle ; P. Bonnet ; S. Bour ; Bourdin ; Bourguignon ; J.M. Bouteyre ; H. Bret ; du Breuil de Saint Germain ; P. Brissand ; de la Brunerue ; A. Buon de la Voye ; C.P. Cacheux ; J.M. Cailletaud ; Camatte ; A. Cardon ; Carponcin ; A.M. Castanié ; O. Cazalis ; R. de Certeau ; R. de Charrette ; M.C. de Charrette ; G.L. Charles ; R. Chevalier ; Clignant ; Clouet d’Orval ; R. Colette ; de Condé ; G. Contal ; I. Cordeles ; Cordier ; A.C. Coste ; A. de la Coussaye ; A. Couderc ; D. de Courcenay ; COutillac ; A. Cuisinier ; J. Daguerre ; G. Dardiac ; F. Dauquaire ; C.M. Delaroche ; L. Delpierre ; A. Denis ; P. Depassé ; M.E. Didier ; M.J. Dières ; C.M. Dol ; E.E. Dradel ; C. Drapier ; T. Drevost ; G.J. Drot ; Dubreuil ; B. Dufourcet ; P. Dulenfe ; A. Dumas ; Dupont ; Dupuy ; J. Dutar ; A. Edeline ; J. Entraygue ; A. Eybert ; J. Eygormer ; L.N. Fabre ; J.A. Favre ; J.D. Fernande ; F.G. Filipucci ; L. Flaignet ; E. Flament ; de Flotte ; Fouchet ; M. Fougeron ; J. Franc ; Franck ; E. François ; E. Gallopaud ; Garroir ; L.V. Gillot ; A. Girarder ; de Gouville ; C. Gros ; J. Grosse ; E. G’sell ; A. Guérin ; L. Guillou ; J.M. Guirici ; A. Himbert ; L. Jahan ; C. Jeandet ; M. Joly ; J. Jourdan ; J.E. Jurnin ; R. Kabir ; Kandy ; R. Kann ; R. Kersauson de Pennendreff ; de Kertanguy ; P. Labitrié ; A. Lachenal ; Lafosse ; E.H. Lafosse ; M. Landry ; P.A. Leboeuf ; Le Carbonnier de la Monangha ; E. Leclerc ; H. Lecoy de la Marche ; Ledontennec ; J.L. Lefranc ; H.J. Lehelloco ; L.J. Lemoine ; Lequen d’Entremeuse ; H. Lepré ; D. Le Roux ; F. Lespina ; M. Lestrade ; F.G. Le Truven ; C. Lheury ; B. Louvre ; A. Luchessi ; de Lunairac ; Lyautay ; Maceur ben Maceur ; C.H. Ma Cler ; J. Maillié ; de Malartic ; H. Maquiren ; P.J. Marthe ; R. Martin ; T. Matel ; G. Menand ; L. Merey ; E. Metteler ; M. Mouillard ; J. Mullier ; E. Niel ; A. Noël ; J. Noël ; E. Nouhaud ; A. Pacand ; M. Perez ; A. Petit ; J. Petit ; M. Pimpin ; Pupin ; A. Rabec ; C.E. Rameaux ; Ramel ; de Resener ; E. C. Roëland ; F. Rogel ; L. Roussel ; D. Sagey ; L. Salle ; F. Schomederer ; J. enevet ; L. Serre ; C. Servatins ; F. Simon ; F. Suchet ; de la Taille ; P. Theneau ; J.M. Trantoul ; de Trevelec ; E. Triton ; H. Viala ; L. Viaud ; G ; Vigier ; L. Vincent ; de Voguë ; L.M. Warney ; M. Weitz ; E.F. Weyd .

http://passion-histoire.net/phpBB_Fr/viewtopic.php?start=20&t=10108


Like all such parades, the "dragging" of the heretic could be the occasion for disorder. Victims who had not had their tongues cut out or pierced could harangue the accompanying throng or otherwise disturb the smooth running of the performance. At first the authorities let this happen, though whether through incompetence or confidence in the crowd's rejection of heretical ideas is difficult to determine. For example, Alexandre Canus (Paris, 1533) and Aymond de la Voye (Bordeaux, 1542) both preached and in the latter case sang psalms all the way to their deaths. In the 1550s, however, victims still possessing tongues had their mouths closed with a piece of wood or, in the case of Guillaume de Dongnon (Limoges, 1555), a tennis ball. The execution of Arnaud Monier and Jean de Cazes at Bordeaux in 1556 was unusual in that all the gates of the town were closed and guarded throughout and trumpets sounded, according to Crespin to drown out the voices of the condemned. But the victim could still demonstrate in other ways: Nicolas Nail (Paris, 1553) had his mouth plugged but ostentatiously turned his back on an image of the Virgin outside the Hôtel-Dieu; while Adrian Daussi (Paris, 1559), similarly encumbered, refused to kiss a crucifix. Mouths could be silenced, but resistance could still be expressed through body language.

http://www.leedstrinity.ac.uk/histcourse/reformat/maincore/past8128.htm

© City of London
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Description Plan of the Park Hotel Estate Tontine, Norwood in the London borough of Croydon, with a key in the lower margin, now part of Central Hill and Westow Hill; Norwood was formerly in Surrey.
Artist De La Voye (fl.1690)
Engraver De La Voye (fl.1690)
Publisher -
Date of Execution c1850
Medium lithograph
Support paper
Longest Dimension 55cms
Shortest Dimension 44cms
Section Guildhall Library Print Room
Collection Wakefield Collection
Location W.VI NOR
Picture Type plan
Catalogue No k1237537
Accession No -
Notes -


http://collage.cityoflondon.gov.uk/collage/app;jsessionid=3F634C5C26E62B50C269C8FC6083A020?service=external/Item&sp=M38498%3AT%3AT%3AT&sp=27551&sp=X

(22) When the Academy began, the 14 founding academicians (Table 1) were provided with junior helpers described by Fontenelle as assistants (Histoire 1, 13. Perrault, Mémoires, p.140 [1993 ed.]); namely, Niquet, Couplet, Richer, Pivert and de la Voye, who are called éléves in the Academy's Index Biographique (Sturdy, chap.Cool. All these had left by 1676 except Couplet who was joined by Rolle in 1682 (2:237).

http://www.haven.u-net.com/6text_7B2.htm

Il y a également les enceintes fortifiées de Montagne-au-Perche, le château d’Alençon qui abrite une prison, les manoirs de Courboyer, d’Argentelles, de la Voye et d’Angenardière.

http://www.wikijournal.fr/article,350,Orne_61_.html
03.IV.1105. LA FAYE (de). (Lim.?)
Asc. de Gabriel de LA FAYE x ca 1550 Marguerite de LA VOYE en Limousin.
Odile SAVY

http://www.eurogeneal.com/questions.htm

AYMON DE LA VOYE Originaire de Picardie, il arrive en Pays Foyen à l’automne 1541 et commence ses prédictions à Sainte Foy.
Dans ses sermons il prêche en faveur d’une réforme de la foi catholique. Il est arrêté en décembre et présenté à ses juges en janvier.
Il est condamné, refusant toute renonciation, et brûlé vif le 21 août 1542 à Bordeaux.
Aymon de la Voye est un des tous premiers prédicants en France. Sa foi se propage très vite en Pays Foyen et Sainte Foy y gagnera le titre de Genève du sud-ouest.

BELCIER, François de ...Prieur de Sainte Foy en 1540
Il est à l'origine des poursuites contre Aymon de la Voye. Il est condamné par les protestants majoritaires dans la ville et dans la jurade à assurer, à ses frais, les dépenses de l'église sans paroissiens.
Corriger p 53
Mentionné prieur de Sainte Foy en avril 1557. Mort vers 1590. Cordier p 75. Cordier p 127.

http://www.museedupaysfoyen.com/dossiers/dossiers.php?val=15_encyclopedie+inachevee
Copies de lettres écrites par Cassini I, de Glos, l'abbé Gallois, Philippe La Hire, Picard, de La Voye.

http://alidade.ajlsm.com/sdx/alidade/doc-tdm.xsp?id=FROBSPM-ALIDADE-MANU00002_G144&fmt=alidade-manuscrits&base=fa

L’angoisse du péché, du salut de l’homme qui était à la base de la morale luthérienne allait marquer profondément la doctrine de Calvin qui mettait l’accent sur la prédestination. Une fois le protestantisme français organisé, il constituait une force politique et les conditions étaient réunies pour des affrontements sanglants. Catholiques et protestants allaient s’acharner à restaurer l’unité de la foi. Les troubles suscités étaient aussi un moyen pour les grands seigneurs d’affaiblir l’autorité royale. Les Guise et les Montmorency défenseurs du catholicisme, les Bourbons et les Coligny défenseurs du protestantisme se disputaient en réalité le pouvoir. En mars 1532 le Parlement de Bordeaux constatait qu’un certains nombres de « personnages suspectz d’hérésie suyvans la doctrine luthérienne et autres doctrines réprouvées, chassez et fugitifz de Paris et autres lieux se sont retirez en ce ressort ». Des régents et des ministres qui venaient de régions où la religion réformée était déjà implantée venaient s’installer dans des villes parfois avec la complicité des autorités locales comme le Picard Aymond de La Voye à Sainte-Foy. Dès 1546 le protestantisme était solidement ancré dans cette ville. « Les ministres de Sainte-Foy se répandirent dans nos campagnes » écrit René Blanc.[21]

http://benito.p.free.fr/page4.html

De La Voye, Rene
Naissance : vers 1610 à St. Maclou DE Rouen, Rouen, Seine-Maritime, France
@NI146260@
Famille:
Mariage: vers 1630 à St.Maclou-Rouen, Rouen, Seine Maritime, France
Conjoint:
Belanger, Isabelle
Naissance : vers 1610 à St. Maclou DE Rouen, Rouen, Seine-Maritime, France
@NI146271@
Enfant(s):
Lavoie, Rene

http://vallieres.ifrance.com/dat673.htm


LA CROIX GODIER



Curieusement, elle est ainsi nommée sur les cartes de l’IGN. Elle se trouve sur le chemin de la Croix Blanche à Cernay, maintenant route de Roussigny, départementale 40 et GR 11, après la ferme de Quincampoix. Elle marque la limite du fief de la Voye, on trouve du reste dans les écrits, une croix éponyme.

Croix Godier, Gohier, Goyer, croix de la Voye, croix Target (un temps grand propriétaire) elle ne manque pas d’appellations ! Cette croix porte le nom de Goyer sur la carte des Chasses du Roi en 1764, vraisemblablement du nom de Jacques Goyer dit d’Armenon, propriétaire de terres sur le chemin qui va à Cernay et du côté d’Armenon. On remarque qu’en 1694, on trouve une autre graphie, Marie veuve Gohier sur un plan faisant partie des friches de Montfermeil possédées par la Commanderie de Louviers-Vaumion ; sur ce même plan figure une autre croix Gohier sur le canton dit des Grandes Bruyères ou de Grande Brière à cause de la forêt du même nom dont font état les archives, entre le chemin de Cernay et la route de Limours à Chevreuse, à l’extrémité ouest du village. Cette famille est du reste très ancienne sur le lieu, puisqu’on retrouve avec une graphie différente Yves et son frère Galterus Gohier aux côtés de Hugues de Craches en 1160-1180, les contemporains de Ricardus de Moleriis, sous l’obédience du prieur de Longpont. Sont-ils venus du nord, du pays de Gohière par la Seine, puis par l’Orge ?

http://lesmolieres.free.fr/phorum/read.php?2,25,25



 

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